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Tout savoir sur les incubateurs de startup

La création et le développement d’une entreprise demandent d’actionner de multiples ressources ; l’énergie, le temps, l’argent, le réseau … et l’un des moyens fiables pour ne pas s’épuiser est de faire appel à un incubateur. Canal permettant de concentrer ces ressources et de les organiser afin d’optimiser la gestion du développement des projets, l’incubateur est une structure qui permet de concentrer ses forces au mieux en proposant un accompagnement personnalisé pour un projet.

Mais alors comment fonctionne un incubateur ? Et comment se préparer à une incubation ?

I- INCUBATEUR ? POUR QUI ET POUR QUOI ?

II- COMMENT INTEGRER UN INCUBATEUR ?

III- APRES LA CANDIDATURE ?

Incubateur de startup, pour qui et pour quoi ?

Incubateur, accélérateur ou pépinière ?

Lorsque nous parlons d’incubation, il est important de tout d’abord différencier les différentes structures existantes. Les deux formes principales sont les incubateurs et les accélérateurs.

Intervenant en phase de création, l’incubateur permet de passer d’une idée à un concept économiquement exploitable. C’est un moment où le travail principal est de définir un business model viable et stable.

L’accélérateur de son côté s’intègre au sein d’une jeune entreprise dans sa phase de commercialisation, lorsqu’il est nécessaire de passer à la vitesse supérieure. L’accélérateur accompagne les startups dans la dynamisation de leur croissance et dans l’accélération de leur développement.

À ce stade, la question n’est plus de réfléchir au produit/service, mais de trouver un moyen de le propulser sur le marché et/ou encore d’accéder à sa première levée de fonds. Il s’adresse généralement à des projets réclamant un fort apport au capital pour se lancer concrètement. À savoir que certains établissements sont hybrides et proposent un temps d’incubation suivi d’un programme d’accélération.

Une troisième forme existe également pour les entreprises déjà lancées, il s’agit des pépinières. Sans forcément disposer des leviers pour propulser rapidement l’activité, les pépinières vont cependant grandement faciliter le démarrage des projets en garantissant de nombreuses ressources pour des prix souvent avantageux.

Les startups peuvent alors accéder à des locaux, des aides financières, des salles de réunion, divers moyens logistiques ainsi que du réseau interne et externe de la pépinière. L’objectif étant de rendre optimale son expérience entrepreneuriale, il est crucial de prendre du recul sur le projet afin d’évaluer son niveau de maturité et ainsi de choisir l’établissement d’accompagnement idéal.

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Quel est le rôle de l’incubateur de startup ?

Les incubateurs sont de plus en plus nombreux en France, leur rôle dans la vie de la startup va dépendre de l’investissement des partenaires et des porteurs de projet mais ils proposent généralement une formule similaire comprenant :

  • Un hébergement intégrant des bureaux et le plus souvent des espaces annexes comme des salles de réunions. Ceci permettant aux porteurs de projet de bénéficier d’un cadre de travail adéquat, mais également de lutter contre l’isolement, malheureusement récurrent chez un grand nombre de porteurs de projet.
  • Un accompagnement personnalisé et collectif. L’incubateur suit le projet et aide l’aide en structurant son développement notamment établissant des suivis d’objectifs. Il va également être un apport en compétences via des cessions de coaching et de formations pour répondre à des besoins entrepreneuriaux précis. Ne jamais oublier que l’incubation est, avant tout, une aventure humaine où des hommes sont à l’écoute d’une équipe, de leur questionnement, de leur doute et de leur fierté.
  • Un réseau et la mise à disposition de ressources. L’incubateur, déjà intégré dans un écosystème et une communauté, met à disposition de la nouvelle société tout un réseau auquel elle n’aurait pas nécessairement accès seule. Ainsi cela peut se traduire par la mise en contact avec des avocats, des comptables, des experts marketing mais aussi par l’intégration dans un premier marché test.

Comment intégrer un incubateur ?

Quel type d’incubateur ?

Les différents incubateurs

Il n’existe pas qu’une seule forme d’incubateur, ainsi avant de pouvoir en intégrer un, il est nécessaire de se renseigner quant au format correspondant le plus au projet.

  • Les incubateurs publics dit incubateurs « Allègre » : Pour intégrer un incubateur public, il est nécessaire de proposer un projet innovant mettant en avant les compétences et les résultats des laboratoires des établissements publics de recherche de d’enseignement supérieur. À Paris par exemple, il est possible de retrouver Agoranov ou Incuballiance, deux incubateurs soutenus par la recherche publique.
  • Les incubateurs de collectivités locales : Ces établissements vont être rattachées à une région, un territoire, une métropole etc. Elles vont accueillir des projets dont l’action se répercute positivement sur le dynamisme économique, culturel et/ou social du territoire.
  • Les incubateurs privés : À l’initiative d’entités privées telles que des entreprises, des investisseurs et autres, les incubateurs privés sont souvent rattachés à des entreprises ou des écoles.
  • Les incubateurs rattachés aux grandes écoles : Ces structures s’adressent aux étudiants, parfois aux anciens étudiants, afin de les aider à créer leur projet.
  • Les incubateurs de grandes entreprises : Ces incubateurs sont souvent développées par des grands groupes industriels dans une logique d’open innovation. C’est notamment un moyen pour eux de dynamiser leurs activités afin de s’adapter plus rapidement et plus facilement aux variations du marché. En proposant leur propre incubateur, ils vont favoriser l’émergence d’une dynamique intrapreneuriale, mais également attirer de nouveaux talents.

Quel est le prix d’un incubateur ?

Intégrer un incubateur n’est généralement pas gratuit et il est nécessaire, avant de se lancer, d’étudier les attentes financières de l’établissement visé. Deux grands modèles sont existants :

  • Facturation des services et de l’hébergement

Avec ce format de tarification, les incubateurs font le choix de faire payer les services apportés aux projets incubés. L’hébergement, l’accompagnement, les formations, le réseau, tous les services proposés sont engagés souvent sous un forfait que la jeune entreprise devra régler selon les modalités mises en place par l’incubateur.

Certains font payer un coût d’entrée, d’autres un coût de sortie ou encore mensualisent les frais, comme sous la forme d’un loyer. Il n’existe pas de prix fixe concernant les incubateurs, cela va dépendre du lieu, des établissements, de leur taille et des services proposés. Cependant, il est possible de noter qu’en général les coûts mensualisés s’élèvent souvent entre 150€ et 500€. L’important est d’ancrer l’idée selon laquelle les prix appliqués se situent bien en dessous de ceux réalisés sur le marché, et qu’il s’agit alors de tarifs préférentiels signant une grande opportunité pour les porteurs de projet.

  • Prise de participations

De nombreuses structures d’incubation n’ont pas recours à la facturation des prestations, mais à la prise de participation au capital. Dès lors, en échange d’un financement, des hébergement et de l’accompagnement que l’incubateur va apporter, il prend des parts au capital de la startup. C’est suite à une négociation entre l’organisme et les entrepreneurs que va être fixée la part du capital cédée. Usuellement, cela varie entre 3 % et 10 %, mais ce n’est pas une vérité absolue. Cela va notamment beaucoup dépendre de l’incubateur et du projet.

Bien choisir son incubateur

Afin que l’expérience soit optimale, il est primordial de bien choisir sont incubateur. Pour cela trois critères sont déterminants :

1) La localisation

Deux axes sont à envisager lorsque nous abordons le sujet de la localisation : le personnel et le professionnel. Il est en effet important de trouver un incubateur qui, géographiquement, permet de s’épanouir tant personnellement que professionnellement.

Si l’aspect vie privée relève de l’ordre subjectif, le marché lui ne ment pas. La zone où est situé l’incubateur se révèle souvent comme le premier terrain de jeu des startups, il faut alors prêter attention aux dynamiques territoriales afin de s’assurer de l’adéquation entre la localisation et le projet.

2) La spécialisation

Dans la majeure partie des cas, les incubateurs ont une spécialisation et vont pouvoir répondre à des besoins spécifiques à un secteur d’activité. Il est alors crucial de se renseigner quant à leur spécialité afin que leurs ressources croisent correctement les attentes du projet.

3) Les besoins et les attentes autour du projet

Un accompagnement se construit à deux. D’un côté l’incubateur et de l’autre le duo entrepreneur / projet. Ainsi comme dans n’importe quelle relation, il faut prêter attention aux besoins et aux attentes de chacun.

L’entreprise en création doit alors réfléchir et formaliser les siens afin de s’assurer que l’incubateur ciblé puissent y répondre. Et, suivant cette logique, il faut également appréhender les besoins et les attentes de l’incubateur afin de vérifier que la startup soit en mesure d’y répondre pour, à la fois, se donner la possibilité d’intégrer l’organisme, mais aussi de retirer le meilleur de l’incubation.

Que faire lorsqu’un incubateur répond à ces critères ?

Le meilleur réflexe est d’établir le contact avec l’incubateur visé. Cela permet de vérifier que l’image et les informations que délivre la structure sont fidèles à la réalité. Rencontrer les incubés, anciens ou actuels, est également un bon moyen pour obtenir un retour quant au fonctionnement de l’établissement et s’assurer que cela corresponde au projet.

  • Se préparer à la procédure d’admission

Une fois un ou plusieurs incubateur(s) sélectionné(s), les rôles s’inversent et c’est à la startup de prouver qu’elle est idéale pour la structure d’incubation. La phase de candidature se déroule généralement en deux étapes : l’envoi d’un dossier de candidature et la présentation du projet face à un comité de sélection.

  • Le dossier de candidature

L’improvisation n’est pas de mise au cœur des dossiers pour candidater aux incubateurs. Généralement, ces derniers lancent un appel à candidatures, l’astuce est alors d’être vigilant quant au calendrier de candidature de chaque organisme. Souvent, les promotions d’incubés sont lancées en janvier ou bien en septembre, mais attention ceci n’est pas une généralité, il est nécessaire de suivre précisément les formules périodiques de chaque incubateur.

Chaque structure fournit usuellement le dossier de candidature via son site internet, il suffit alors de le télécharger, de le remplir et de le renvoyer. Les incubateurs indiquent souvent très clairement les informations qu’ils souhaitent recevoir pour évaluer les candidatures. Les attentes varient selon les incubateurs, mais dans le plus grand des cas, il sera demandé un business plan avec une présentation du projet, celle de l’équipe, des prévisionnels, les motivations ainsi que certaines informations administratives.

Répondre à un appel à candidature est un acte très chronophage qu’il ne faut pas prendre à légère. C’est un premier pas dans la possible intégration d’un incubateur, mais aussi un premier temps de prise de recul et de compréhension des mécanismes de son projet. Avant tout, il faut veiller à noter la date limite de dépôt des candidatures afin d’évaluer le temps disponible pour remplir son dossier et, bien évidemment, ne pas louper sa chance.

Comment réussir son dossier de candidature ?

  • Rédiger un bon business plan

Le plan d’affaires, aussi communément appelé business plan, doit pouvoir présenter la réflexion stratégique attachée au projet. En réaliser un pertinent n’est pas évident car il faut savoir être synthétique sans pour autant être avare en détails. Lors de la rédaction d’un business plan, la clé est de garder à l’esprit que ce document devra s’inscrire comme un référentiel tant pour les personnes à qui il est envoyé que pour le porteur de projet.

En finissant la lecture du business plan, nous devons pouvoir être en mesure de comprendre selon quelle stratégie le projet est construit et dans quel environnement et marché il s’intègre.

Les informations à mettre dans le business plan :

– Un executiv summary : synthétisé en deux pages maximum, ce sommaire doit mettre en avant les éléments clé du projet pour que le lecteur comprenne dès le début de sa lecture les tenants de la startup.

– Une présentation d’équipe : si l’incubation est un levier entrepreneurial fort, cela reste une aventure humaine basée sur un accompagnement d’individus à individus. Il est ainsi primordial de correctement présenter l’équipe en détaillant les expériences, les compétences, les motivations, etc. Il faut garder en tête que dans certains cas, même si le jury décèle des failles importantes, une équipe ou un porteur de projet « pertinent » permet de débloquer la candidature.

– La promesse du projet : ceci représente le cœur du projet. Il s’agit de faire comprendre quel problème a été identifié, quelle solution propose le projet pour y répondre et en quoi cette dernière est innovante et se différencie des autres ? Encore une fois, il s’agit d’être synthétique, une promesse doit pouvoir se définir en une ou deux phrases, jamais plus.

– Un plan financier : il s’agit de mettre en avant des objectifs financiers et de budgétiser en donnant toujours des repères temporels. Faire relire et prendre le temps de travailler son business plan est très important, car cela permet de prendre du recul sur les informations apportées. La tentation de survendre son projet arrive très vite, mais délivrer des informations plus ou moins exactes ne sera jamais vu d’un bon œil par un jury d’experts. Il est grandement conseillé d’admettre des questionnements et des failles plutôt que de les cacher grossièrement.

  • Le comité de sélection

Le comité de sélection intervient dès lors que le dossier de candidature a été sélectionné et validé. Mais qui rencontrons nous lors de ces comités ? En général, seront présents les responsables de l’incubateur mais également des jurys experts en création d’entreprise (marketing, comptabilité, conseil, juridiques, etc.).

Dans le cas d’un incubateur spécialisé, les membres du jury compteront également des professionnels du secteur. Lors de cette rencontre, l’objectif de la startup sera de convaincre de la pertinence et de la faisabilité du projet et ceci souvent en deux temps :

1) La présentation du projet, le pitch

2) L’entretien, le jeu de question/réponse

Comment réussir un pitch ?

Si l’exercice du pitch semble s’intégrer de plus en plus dans n’importe quel processus de recrutement, ce n’est pas grâce à sa facilité d’exécution, mais par ce qu’il va faire ressortir chez la personne. Avec un pitch, l’objectif est de présenter à l’oral son idée ou projet dans un laps de temps court et imparti. Le pitch n’est pas un exercice d’improvisation. Le préparer peut s’avérer fastidieux et angoissant, voici alors quelques astuces pour le travailler :

• Soigner la présentation

  • La présentation : le pitch peut être accompagné d’un diaporama et, dans ce cas-là, l’important est de rester concis. Délivrer trop d’informations peut créer la confusion chez le jury qui risque de ne plus écouter le pitch.
  • Le langage corporel : se tenir droit, entretenir le contact visuel, réduire ses hésitations et parler avec les mains (sans tomber dans la caricature), permet de capter l’attention et, ainsi, aide à convaincre.

• Soigner le discours

  • Le ton : un bon pitch est un pitch où celui qui a la parole prouve qu’il connaît son projet et qu’il y croit. Pour cela, il est nécessaire d’adopter un ton calme et naturel, et appréhender l’idée selon laquelle venir sans note est un facteur clé de succès.
  • Le discours : lors de la préparation d’un pitch, il faut comprendre à qui il est adressé. S’il est crucial de convaincre, l’objectif n’est pas de persuader un client d’acheter, mais à un jury de vous accompagner. Il faut alors à tout prix éviter les discours commerciaux.
  • L’équilibre de la parole : le pitch étant de courte durée, le premier conseil serait probablement de laisser une unique personne le faire. Cependant, s’il est décidé que plusieurs membres de l’équipe vont prendre la parole, le plus important est d’équilibrer le temps de paroles et d’être pertinent quant à son partage. Cependant, pendant l’entretien, il faut toujours veiller à ce que tous participent.

Comment réussir l’entretien ?

Une fois le pitch fini, le jeu de question/réponse avec le jury peut commencer :

• Rester synthétique : à l’instar du pitch, l’entretien est également souvent de courte durée, il faut alors savoir faire des réponses courtes pour ne pas frustrer le jury qui ne se verrait pas obtenir de retour à leur questionnement.

• Garder un esprit ouvert : le comité de sélection se présente pour évaluer des projets, mais il est aussi là pour jauger la capacité d’une équipe à se faire accompagner. Dès lors, la clé est de faire preuve d’une grande ouverture d’esprit et d’écoute afin de montrer que les critiques peuvent être accueillies.

• Faire de la non-connaissance une alliée : il y a de forte chance que le jury pose une question pour laquelle l’équipe n’a pas de réponse. Tout l’intérêt est de ne pas paniquer et d’accepter de ne pas savoir. Un « Je ne sais pas, je vais me renseigner » n’est pas une faute, à partir du moment où il n’est pas utilisé outre mesure.

Que faire après la candidature ?

• Refusé par un incubateur, que faire ? En cas de refus suite à une candidature, le premier réflexe à avoir est d’en demander les raisons. Un refus n’est pas une finalité, c’est une première forme et étape d’accompagnement.

Entendre les raisons qui ont fait que le projet n’a pas été retenu est le meilleur moyen de le consolider. Réessayer de postuler dans un incubateur est une solution, mais il existe également la pré-incubation (comme le programme Lance Ton Idée par Vianeo qui permet de bâtir un dossier solide), les concours ou divers ateliers permettant de grandir le projet.

• Accepté mais l’incubateur ne convient pas, que faire ? Lorsqu’un projet intègre un incubateur, il va normalement signer un pacte/contrat avec la structure déterminant le fonctionnement de l’incubation (tarif, obligations, droits etc.)

C’est dans ce contrat que sera signalée les modalités de départ et d’arrêt de l’accompagnement. Il faut alors bien prêter attention à ce dernier lors de l’entrée au sein d’un incubateur afin de s’assurer des modalités de sortie en cas d’inconvénient.

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